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La quotidienne du Vendée Globe 2012 - Vendée Globe: Résumé du 47e jour de course - 26 décembre 2012

873 Ansichten· 26/12/12
vendeeglobetv
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Revivez les temps forts du mercredi 26 décembre, 47ème jour de course sur le Vendée Globe 2012-2013. Si, en tête de flotte, François Gabart et Armel Le Cléac'h continuent de naviguer sur des routes parallèles, d'autres ont l'occasion de goûter la véritable solitude du grand sud, lorsque le plus proche concurrent est à plus d'une journée de mer de leur position. Les prochaines heures pourraient modifier la donne. Comme cul et chemise... Les deux leaders du Vendée Globe, en route vers la dernière porte du Pacifique, n'ont été séparés que de cinquante milles au maximum en écart latéral, lors des dernières vingt-quatre heures. Autant dire une peccadille, au regard de la distance déjà parcourue. Mais la présence d'une zone de transition complexe devant leurs étraves sera peut-être l'occasion de voir une vraie rupture stratégique entre les deux navigateurs. Face à eux, un petit centre dépressionnaire en formation génère une zone de calmes, pile sur la route. Pour le contourner, il existe deux choix : par le nord, la route est la plus longue sur l'eau mais garantit - si tant est que la météo offre des certitudes - un vent à peu près régulier. Par le sud, la route est plus courte, mais fait prendre le risque de se faire rattraper par les calmes. Entre les deux routages, il existe une différence de quelques heures à peine au cap Horn. Alors quelle décision prendre ? La route nord qui impose un détour conséquent ou la route sud, plus proche de la route directe, mais qui peut se révéler piégeuse ? En corollaire, un autre paramètre entre forcément en compte. Se séparer maintenant, c'est accepter le risque que l'un des deux protagonistes prenne un avantage certain, avant le franchissement du cap Horn. A ce petit jeu, chacun s'efforce d'abattre ses cartes le plus tard possible. Mais comme au poker, il faut parfois payer pour voir. Au classement de 16 heures, les deux leaders semblaient avoir fait leur choix : route au sud, de conserve. Voyage en solitude Cette régate au contact a des vertus évidentes. On peut étalonner ses performances et psychologiquement, c'est rassurant de traverser ce grand désert liquide en convoi, avec un concurrent proche. Même s'il est hors de question de franchir les limites d'un risque acceptable, nul ne peut s'empêcher de penser que disposer d'un lièvre à proximité est forcément une aide à la performance. Pourtant, ils sont nombreux à aborder la dernière marche des mers du Sud sans véritable repère. Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) pointe à plus de 650 milles des deux premiers et relègue Alex Thomson (Hugo Boss) à plus de 300 milles. Le coureur britannique possède lui-même presque 900 milles d'avance sur Jean Le Cam (SynerCiel) qui poursuit sa route 400 milles devant le seul trio qui reste encore groupé composé de Mike Golding (Gamesa), Dominique Wavre (Mirabaud) et Javier Sanso (Acciona 100% EcoPowered). Derrière eux, Arnaud Boissières (Akena Vérandas) est encore à 400 milles de Bubi, soit l'écart entre Bertrand de Broc (Votre Nom autour du Monde avec EDM Projets) et Tanguy de Lamotte (Initiatives-cœur). Alessandro Di Benedetto (Team Plastique) n'a pas ces états d'âme. Naviguer à 4800 milles des premiers, cela n'est rien, quand on a dans sa besace un tour du monde en solitaire, sans escale sur un Mini de 6,50m en 268 jours. Ce bel ordonnancement peut aussi être bouleversé. Il suffit parfois d'un grain de sable pour dérégler une belle mécanique. Bernard Stamm, au mouillage devant Dunedin, en sait quelque chose. Le skipper de Cheminées Poujoulat, malgré une machine taillée pour la performance, est embarqué dans une spirale infernale, du fait de la casse de ses supports d'hydrogénérateurs. Alors qu'il bataillait encore pour la quatrième place, Bernard peut, dans le meilleur des cas, repartir avec le groupe des Tontons Flingueurs qui, après avoir perdu Jean Le Cam, récupérerait un autre coureur de tempérament. Reste à savoir si ce groupe ne va pas exploser. Javier Sanso a annoncé, lors du direct avec le PC Course, qu'il était de nouveau aux prises avec des soucis de rail de grand-voile. Bubi s'apprête donc à remonter cette nuit - quand il fera jour aux antipodes -- pour tenter de réparer la pièce. Le skipper espagnol a mis un peu de nord dans sa route pour bénéficier de quelques degrés de température supplémentaires. Quand on est ballotté à 27 mètres de haut, on a le droit de s'offrir quelques éléments de confort. Rejoignez le Vendée Globe sur Facebook: https://www.facebook.com/VendeeGlobe Rejoignez nous sur twitter: https://twitter.com/vendeeglobe Abonnez vous à Vendée Globe TV: http://www.youtube.com/vendeeglobetv Retrouvez nous sur http://www.vendeeglobe.org

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