Welcome aboard to the our video site for sailors. We are being constantly blasted by scammers and pirates, so registration is invite only
contact@sailorsahoy.com with "Invite". No spam, no newsletters. Just a free account
Cortos crear
Nous sommes Claire Roberge et Guy Lavoie Navigateurs, vidéastes, et conférenciers. Notre voilier Balthazar est un dériveur intégral en acier construit par nous en collaboration avec un chantier professionnel à Montréal au Québec. Notre site internet: http://www.voilierbalthazar.ca/ Facebook: https://www.facebook.com/voilierbalth... Nos 3 films sont maintenant disponibles pour visionnement sur la plateforme suivante https://destidocs.com/cineaste/claire... Obtenez un rabais de 15% avec le Code Promo : Balthazar Conserves de poisson (court terme). La pêche prend une place de choix dans les plaisirs de la vie à bord. Manger du poisson frais demeure agréable et apporte une bonne source de protéine. Mais lorsque la pêche est trop généreuse, il faut trouver un moyen de conserver le surplus. Pour ceux qui ont un congélateur à bord, ce n’est pas compliqué. Les autres choisiront de faire sécher le poisson, de le faire mariner ou de le mettre en conserve. Personnellement, je fais des conserves en utilisant un autocuiseur (cocotte minute) moins volumineux qu’un autoclave traditionnellement utilisé pour faire des conserves. La température interne d’une cocotte minute n’est pas aussi élevée qu’un autoclave et les aliments ainsi conservés auront une durée de conservation moins longue. On pourra conserver le poisson quelques semaines (j’en ai conservé jusqu’à trois mois). Je sais, ce n’est pas aussi sûr comme méthode de mise en conserve, car ça ne détruit pas nécessairement les spores de Clostridium botulinum qui pourraient s’y trouver. Je vous recommande donc un autoclave pour faire des conserves dignes de ce nom et sécuritaires. Les spores sont détruites au dessus à 240 F ou 115 C. Dans un autocuiseur la température monte à 233 F ou 112 C et peut monter jusqu’à 244 F ou 118 C selon le modèle. Dans un autoclave la température monte jusqu’à 250 F ou 120 C. De plus, il vaut mieux être outillé de certains ustensiles pratiques comme des pinces à bocaux, un entonnoir à large col et un support à bocal en acier inoxydable. Les pots et les couvercles ainsi que tous les ustensiles doivent être bien stérilisés à l’eau bouillante avant l’utilisation (10 minutes). Plonger aussi les disques dans de l'eau chaude non bouillante pour activer le pouvoir scellant du caoutchouc. Méthode de cuisson: Attention il vaut mieux suivre une recette pour s’assurer du résultat. Il suffit de faire pocher le poisson 5 minutes dans un bouillon ou dans de l’eau salée. Ensuite, on insère les morceaux de poisson dans les bocaux à l’aide d’un entonnoir à conserve pour ne pas salir le goulot. Ajouter du bouillon sur le poisson dans le bocal jusqu’à 1 cm du bord. Fermer les bocaux avec les couvercles stérilisés et cuire dans l’autocuiseur en mettant de l’eau au fond de celui-ci jusqu’à 2 cm du bord des bocaux. Je peux placer quatre pots de grandeur moyenne (13 cm de haut) dans mon autocuiseur. Fermer l’autocuiseur et cuire de 60 à 90 minutes sous pression élevée. Lorsque la pression est redescendue, on peut ouvrir l’autocuiseur. Attendre que les bocaux refroidissent un peu avant de les sortir. Utiliser des pinces à pots pour les sortir. Les couvercles se scelleront d’eux-mêmes; on entend un « poc » quand ils se scellent et prennent une forme concave. En frappant le dessus du couvercle, on peut aussi entendre un son sourd quand la conserve est bien scellée. La chair du poisson sera très cuite. J’utilise ces conserves de poissons pour cuisiner des plats en sauce (genre coco-curie) ou pour faire des acras (beignets de poissons). Les couvercles de pots Mason rouillent à l’air salin et ils sont introuvables hors d’Amérique. Alors, faites-en provision avant le départ en prenant soin de les ranger dans un sac étanche vidé de son air avant de le fermer. Les pots et les bagues sont réutilisables, mais pas les rondelles d’étanchéités.
Discover clever storage solutions and conquer humidity woes aboard a sailboat! Join us as we tackle mold, optimize space, and share practical tips for a dry and comfortable sailing life. Perfect for sailors and boat owners! #sailinglife #boatlife #sailingtips #boatoreganization #humiditycontrol #moldremoval #sailboatliving #storagehacks #spacesaving #maritime
Offshore cruising in a sudden pop‑up thunderstorm is anything but predictable—one moment the sea rolls steady, the next a wall of wind barrels down, whipping the rigging and heeling the boat hard over as spray leaps across the deck. Rain lashes sideways, stinging skin and soaking everything in seconds, until I can’t tell what’s seawater and what’s sky. The storm seems to come from nowhere, fierce and messy, leaving me braced against the wheel, drenched and blinking through the chaos, riding it out until the burst of fury suddenly eases as quickly as it arrived.
The custom horn (with its own air compressor!) is just one of the many upgrades featured throughout this exceptionally well-maintained vessel. Skipjack is ready to go having been recently hauled and serviced for the season. Bow and stern thrusters makes for easy maneuvering with the twin Mercruiser V-8 engines, and the custom stainless grab rail that runs the length of the full canvas enclosure makes going forward to the bow along the side decks safe and secure. Below decks the sheer size of the interior space and natural light is impressive, including the Sellers self declared “sunken living room” which converts into a large double bunk for guests or crew. Complete with built-in vacuum system and security system with camera monitoring, Skipjack is available to view by appointment.