Après 7 ans sur un voilier, notre plus grand défi n'est plus l'océan... mais de survivre l'un à l'autre ! 😅 Certains collectionnent les timbres, nous, on collectionne les redémarrages. À 19 ans, on quittait nos pays pour immigrer en Suisse sans un sou. En 2014, on quittait nos jobs pour un tour du monde en voilier sans expérience. Aujourd'hui, on plaque tout à nouveau : plus de bateau, plus de maison, juste une valise chacun. Mais cette fois, les règles du jeu ont changé. La mission : faire cohabiter un jeune retraité (Ivo) qui rêve de "zéro emmerde" avec une pré-retraitée hyperactive (Dajana) qui DOIT gagner sa vie. Avec nos 16 ans d'écart et nos objectifs diamétralement opposés, notre couple, formé en 2014 pour la grande aventure du voilier, risque de connaître quelques tempêtes... à terre ! Notre seul terrain d'entente ? Continuer à voyager, mais différemment. Le slow travel en mode "senior nomads". On vous embarque dans notre quête pour trouver un équilibre entre le besoin de paix et l'envie de défis, entre la retraite et la réinvention. Cette nouvelle saison, c'est une page blanche, et vous êtes notre nouvelle boussole. CHAPITRES : 00:00 Collectionneurs de départs à zéro 00:45 Le vrai défi : survivre à notre couple 01:31 La quête professionnelle de Dajana 02:02 La philosophie d'Ivo : l'art de ne rien faire 02:43 Trouver un terrain d'entente 03:17 Nos idées pour la suite 05:10 On a besoin de vous ! REJOIGNEZ L'AVENTURE : https://facebook.com/sv.silkap/ https://instagram.com/sv.silkap/ #RetraiteNomade #RepartirDeZero #VieNomade #VoyageEnCouple #TourDuMonde

Après 7 ans d'un tour du monde en voilier qui a transformé nos vies, nous arrivons au bout de ce chapitre immense. Cette vidéo capture les tout derniers moments de cette aventure : une escale magique à Rangiroa en Polynésie française, une rencontre inoubliable avec des dauphins, et l'instant où nous avons vendu notre maison flottante, notre fidèle compagnon voilier "Silkap", en un temps record de 48 heures ! Mais ce n'est pas une histoire triste. C'est une célébration. Une réflexion sur la vraie signification de la liberté, la joie des choses simples et la sagesse de savoir quand il est temps de tourner la page. De 22'000 milles nautiques à seulement 4 valises, découvrez avec nous ce sentiment vertigineux de légèreté et le début de notre nouvelle quête : devenir des "Vagabonds des Continents". L'aventure ne s'arrête pas, elle se transforme. Bienvenue dans notre nouvelle vie sur terre ! FB: https://facebook.com/sv.silkap/ INSTA: https://instagram.com/sv.silkap/ CHAPITRES 0:00 - La fin d'un rêve ? Notre joie inattendue à l'aéroport 1:50 - Le plus grand luxe : avoir des besoins simples 3:22 - La bénédiction : une rencontre magique avec les dauphins 4:57 - Nos chemins se séparent : l'adieu à nos amis marins 6:00 - Vendu en 48h ! La libération et la préparation pour la suite 7:05 - Notre nouvelle philosophie : la liberté absolue 9:05 - Le bilan de 7 ans en chiffres (et en émotions) #ChangementDeVie #VoyageSenior #Minimalisme #Liberté

Après plus d'un an de silence, on vous raconte la vérité. Pourquoi avons-nous arrêté notre tour du monde en voilier après 7 ans ? Non, nous ne sommes pas séparés. La raison est plus profonde : c'est l'histoire de la face cachée du rêve et de la décision de reprendre le contrôle. On lève le voile sur la réalité de la vie en mer, loin de la carte postale parfaite. On vous raconte tout, sans filtre : - L'usure mentale des réparations sans fin et la fatigue physique qui s'accumule. - Les problèmes de santé qui ont transformé le paradis en enfer. - Le point de rupture : le chantier naval au Mexique qui a tout fait basculer et nous a poussés à bout. - La décision de vendre notre voilier Silkap et la fin d'un chapitre incroyable de notre vie. C'est la fin d'un chapitre, mais le début de notre plus belle histoire. Celle de notre transformation, du minimalisme par contrainte au minimalisme par choix. C'est la promesse d'une nouvelle aventure, sur la terre ferme cette fois, avec un regard neuf sur le monde. Merci d'avoir été patients. Le meilleur est à venir. CHAPITRES 0:00 - Intro : On vous doit des explications 1:14 - La réalité derrière la carte postale 2:02 - L'usure du rêve : la fatigue mentale 2:50 - Quand le corps dit "Stop" : la fatigue physique 4:35 - Le point de rupture : le chantier de l'enfer 8:06 - La décision qui a tout changé 10:02 - La fin d'un chapitre : la vente express du bateau 11:36 - Le besoin de souffler... l'un sans l'autre 13:15 - Le choc du retour à la vie terrestre 15:33 - Notre nouvelle quête : voyage comme antidote au vieillissement 16:44 - Le meilleur est à venir #changementdevie #toutplaquer #voilier #burnout #nouveaudepart

On avait un plan : quitter le lagon d'Apataki pour rejoindre le mythique atoll de Rangiroa. Mais en voilier, le vrai patron, c'est la météo ! 🌬️ Récit d'une navigation pleine d'imprévus au cœur des Tuamotu (Polynésie française), qui nous forcera à changer de cap pour un atoll isolé et chargé d'histoire. Embarquez avec nous pour une navigation qui ne s'est pas du tout passée comme prévu. Partis d'Apataki, nous avons dû faire face à des vents contraires qui nous ont déroutés vers Ahe, l'atoll secret où le légendaire navigateur Bernard Moitessier a posé son ancre pendant 3 ans. Au programme : 🌊 Le passage délicat de la passe de nord-ouest d'Apataki avec le courant sortant. ⛵️ L'adaptation en mer : quand il faut changer de destination en pleine navigation. 🏝️ La découverte de l'atoll de Ahe, un joyau isolé de la Polynésie Française. 🗺️ Sur les traces de Bernard Moitessier : à la recherche de sa maison. 🔋 Une petite galère technique : quand les batteries nous lâchent en pleine nuit ! 🐬 Le clou du spectacle : notre arrivée magique dans la passe de Tiputa à Rangiroa, accueillis par les dauphins ! C'est ça, la vie en voilier : s'adapter, découvrir et s'émerveiller. On espère que cette aventure vous plaira ! #voilier #navigation #polynésiefrançaise #Tuamotu #aventure #Rangiroa #sailing #Voyage #Moitessier #Ahe

Dans cet épisode, nous sommes à Apataki. On profite pour aller visiter le mouillage mais malheureusement une houle de Est nous oblige à partir pour aller vers un mouillage plus protégé. Celui-ci est en face du seul chantier naval des Tuamotu. C'est un lieu utilisé surtout pour y laisser son bateau pour plusieurs mois, car les prix sont intéressants, mais pour y faire des travaux. En effet, ni des professionnels ni du matériel nautique sont disponibles sur place. Dajana profite du calme pour réparer les toiles du cockpit et faire quelques améliorations. A la fin, nous changeons de mouillage pour aller vers le Nord-Ouest car un coup de vent est annoncé venant de cette direction.

Nous quittons Fakarava pour la dernière fois. Direction la fausse passe à l'ouest de Toau appelée Anse Amyot. Sur place, le nombre de bouées prévues ne correspondent pas à la réalité. On fait avec... Après 2 nuits, nous partons pour Apataki

Nous devons quitter Toau afin de nous mettre à l'abri d'un fort coup de vent de Nord-Ouest. L'atoll de Toau n'a aucun mouillage protégé contre le vent qui vient de cette direction. C'est ainsi que pendant presque une semaine, nous sommes restés au mouillage du Nord-Ouest de Fakarava. On profite d'être à Fakarava pour faire l'avitaillement car après plus d'un mois à Toau, nous sommes à court de produits frais. Nous profitons également pour visiter le vieux phare ainsi que le bateau militaire Bougainville qui avait fait escale dans l'atoll.

Dans cet épisode, nous partageons le quotidien d'une famille de Fakarava ou nous allons passer les fêtes de fin d'année. Nous assistons au chargement des sacs de Coprah récoltés et on profite pour acheter de la farine et des crackers auprès du bateau ravitailleur. Nos amis nous invitent pour manger le cochon grillé. En tout, nous sommes restés plus de 3 semaines ensemble. Plus tard, on les reverra à Fakarava, mais ce sera pour un prochain épisode !

Nous sommes toujours à Toau. On partage une partie de la vie de Flo et Charles dont la famille est arrivée de Fakarava. Nous participons à un petit-déjeuner dominicale typique des Tuamotu avec toute la famille. En échange, on leur fait du pain, des gâteaux et on leur met à disposition notre connexion Starlink. Des locaux partis pêcher nous offrent un petit thon (Bonite). C'est ce qu'on aime dans notre aventure, la découverte et le partage avec les locaux.

Nous sommes toujours à Toau. Cette fois, nous faisons plus ample connaissance avec Flo et Charles qui nous ont invités à manger les langoustes et le poisson qu'ils ont pêché. Nous leur amenons du pain et des bananes car ils restent ici un mois sans aucune possibilité de ravitaillement. On profite de l'eau de pluie récolté par les locaux pour faire une petite lessive. Le séjour à Toau va durer plus longtemps que prévu, mais cela se sera pour les prochains épisodes...

Nous quittons le village de Rotoava dans l'atoll de Fakarava pour partir à destination de l'atoll de Toau situé à environ 23 miles. La passe nord de Fakarava est la plus grande des Tuamotu et devrait par conséquent être facile à traverser. Nous avons commis une erreur en voulant passer par le milieu car c'est là que se trouve le mascaret, càd, la rencontre du courant sortant avec les vagues qui essaient de rentrer. La 2ème passe est celle de Toau. A nouveau pas de difficulté particulière car elle est assez large mais à nouveau, il y a du mascaret mais cette fois on arrive à mieux anticiper par rapport à celle de Fakarava. Nous mouillons au SE de l'atoll. Il y a des bouées (4) mais elles sont toutes prises. On en récupère une le jour suivant car un bateau est parti. A terre, on récolte des noix de coco mais on en replante aussi. Nous apercevons des locaux dans une des maisons. Nous partons à leur rencontre et c'est le coup de foudre. Ils sont géniaux et jamais on aurait imaginé que nous allons, par la suite, nous côtoyer pendant 3 semaines. Mais ça, ce sera pour le prochain épisode.

Nous sommes arrivés à Rotoava, la localité principale de Fakarava. Située au Nord-Ouest de l'atoll, Rotoava, dispose de plusieurs épiceries, restaurants et centres de plongée. Nous avons utilisé les services de Kaina Plongée pour effectuer deux plongées dans la passe Nord. Ces plongées étaient magnifiques et à notre avis plus impressionnantes que la plongée que nous avons effectué dans la passe Sud. On profite des épiceries pour faire l'avitaillement et acheter chez un producteur de bananes un régime entier, car la prochaine destination Toau il n'y a rien !

Nous avons quitté l’atoll de Kauehi pour aller en direction de la passe sud de Fakarava. La passe Sud est la plus connue pour la plongée et notamment son fameux mur de requins. Avant de faire une plongée, on a fait comme beaucoup de plaisanciers, nous sommes allés avec l'annexe jusqu'à la passe à l'étale de marée basse. On se met à l'eau et comme on est seuls, on s'attache à l'annexe avec une corde et on se laisse dériver avec la marée montante. Par la suite, on a plongé avec un centre local Tetamanu pour aller voir dans les profondeurs. Le snorkling et la plongée dans la passe sud c'est magique ! Par la suite, nous avons navigué jusqu'à Rotoava, la grande ville de Fakarava.

Nous avons quitté Tahanea pour aller en direction de Kauehi, situé au nord de Fakarava. Pendant presque un mois que nous sommes restés à Kauehi, nous sommes restés seuls au mouillage, alors que l’atoll tout proche de Fakarava est envahi par les voiliers. Kauehi, n’est pas un atoll très fréquenté par les plaisanciers et nous avons pu ainsi profiter du calme et de la beauté du lieu en toute tranquillité.

Nous sommes toujours à Tahanea dans l'archipel des Tuamotu en Polynésie Française. Cette fois, nous changeons de mouillage pour aller à celui qui se trouve entre les deux passes de l'atoll. Nous faisons du snorkling dans la passe et on profite pour faire des gâteaux à la noix de coco.

Nous sommes en Polynésie Française, archipel des Tuamotu et dans l'atoll de Tahanea. Pour la première fois de notre vie, nous découvrons une spécialité locale, les crabes de cocotier. Sa chair est délicieuse et les habitants la préfèrent à celle des langoustes. Notre ami Nico nous en fera cadeaux à 3 reprises. C'est ça la Polynésie, les rencontres et les découvertes.

Les atolls des Tuamotu sont des véritables champs de mines avec des dizaines et des dizaines de patates de corail, certaines visibles et d'autres submergés. Une navigation périlleuse et compliquée, surtout si on veut naviguer à la voile. En plus, les atolls ne sont pas cartographiés. Pour cela, nous utilisons les images satellite avec le logiciel OpenCPN afin de préparer nos mouillages et surtout de naviguer à l'intérieur des atolls. Cet outil peut également être utile pour naviguer dans d'autres régions du monde, notamment en Méditerranée. Les liens pour télécharger ces images sont les suivants : https://brucebalan.com/chartlocker/ https://www.svsoggypaws.com/SatCharts/index.htm#mycharts http://svocelot.com/Cruise_Info/Equipment/Chart_Downloads.htm https://sailingamazinggrace.com/charts

Polynésie Française, archipel des Tuamotu. Après l'atoll de Raroia nous partons pour notre prochaine destination, l'atoll de Makemo. L'atoll est connu pour sa difficulté de navigation à cause du nombre impressionnant de patates de corail mais surtout plusieurs sont submergées et pas visibles en surface. Grâce aux cartes satellite nous arrivons à naviguer à la voile dans l'atoll. La faible vitesse (moins de 3 noeuds) nous permet de les éviter.

Nous sommes toujours à Raroia. Au total nous y sommes restés 2 mois dont 3 semaines bloqués à cause de 3 Maramus successifs. On vous explique ça dans la vidéo. Le mouillage du Nord-Est est superbe mais malheureusement on est restés très peu de temps à cause d'un grand Maramu qui arrivait. L'atoll de Raroia est magnifique, peu fréquenté et on aimerait bien y revenir.

Nous avons quitté les Marquises et nous sommes arrivés dans l'archipel des Tuamotu et plus précisément sur l'atoll de Raroia. Dans cet épisode, nous visitons le village principal de l'atoll et sa principale attraction, le monument du Kon-Tiki. C'est radeau parti du Peru en 1947 et qui s'y est échoué après 8000 Km de navigation. Nous sommes restés à Raroia 2 mois et ceci est la 1ère partie de ce séjour.