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Souvenirs d’un été 2025 inoubliable L’été 2025 restera longtemps gravé dans nos mémoires. Entre les rires, les longues soirées, les découvertes et les moments de farniente, c’est surtout l’ambiance unique de ces vacances qui nous a marqués. Mais si aujourd’hui on peut revivre chaque instant avec autant de clarté, c’est grâce à Loan, notre photographe attitré, qui n’a rien raté. Armé de son appareil photo, Loan a su capter bien plus que de simples images. Chaque cliché est un fragment d’émotion : le lever de soleil sur la plage, les éclats de rire autour du barbecue, les batailles d’eau improvisées, les balades en fin d’après-midi… Rien ne lui a échappé ! Il/elle a su être partout à la fois, toujours discret(e), toujours à l’affût du bon angle, du bon moment. Grâce à lui, on possède aujourd’hui un véritable album vivant de nos vacances. Feuilleter ses photos, c’est comme replonger dans la chaleur des journées d’été, dans l’insouciance de cette parenthèse enchantée. Ses images racontent une histoire – notre histoire – avec une sensibilité et un regard que seul Loan pouvait avoir. Merci à toi, Loan, pour ta générosité, ton œil artistique, et surtout pour nous avoir offert ces souvenirs éternels. Grâce à toi, l’été 2025 ne s’effacera jamais.
Essai de navigation : Comparatif entre deux gennakers et un spi asymétrique à allure portante Par une belle journée de septembre, mer peu agitée et vent établi à 12-15 nœuds de secteur ouest, nous avons décidé de faire un essai comparatif entre trois voiles d’avant à allure portante : deux gennakers de coupes différentes et un spi asymétrique. Objectif : mesurer leurs performances respectives, notamment en termes de vitesse et de stabilité, sur le même bord et dans les mêmes conditions.
Par une belle journée ensoleillée, rien de tel qu'une escapade en catamaran pour découvrir autrement les trésors du littoral camarguais. Direction le Grau-du-Roi, petit port de pêche emblématique du sud de la France, niché entre mer Méditerranée et étangs sauvages. À bord d’un catamaran confortable, nous avons largué les amarres en fin de matinée. Le vent léger soufflait juste ce qu’il faut pour nous porter doucement vers le large. La sensation de glisse sur l’eau, typique du catamaran, offre un sentiment de liberté unique. Loin du bruit et de l’agitation, seul le clapotis des vagues accompagne notre avancée. Cap ensuite sur les environs du Grau-du-Roi, avec une vue imprenable sur le phare, le port et les longues plages de sable blond. L'annexe permet d’approcher des zones peu accessibles par la terre, notamment les petits chenaux bordés de roseaux, où l’on peut parfois apercevoir des flamants roses au loin. Après cette douce navigation, place à un moment convivial : une petite session de pêche. À l’arrière du bateau, chacun s’est prêté au jeu, canne à la main et yeux rivés sur la mer pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
Le port est encore calme quand l’équipage monte à bord du catamaran. Les sacs sont rangés, le briefing sécurité terminé, et déjà les moteurs ronronnent doucement. À la sortie du port, les voiles se hissent, claquent un instant dans le vent avant de se gonfler pleinement. La mer est d’un bleu profond, l’air salin caresse les visages. L’aventure commence.
Retour de vacances en catamaran – Les calanques en silence Le soleil entamait doucement sa descente quand le catamaran glissa hors d’un dernier mouillage, laissant derrière lui un léger sillage sur l’eau parfaitement lisse. Pas un souffle de vent, ou presque. Seule une brise tiède venait effleurer les voiles, à peine gonflées, comme si la Méditerranée elle-même voulait ralentir notre retour. Les calanques défilaient, majestueuses et silencieuses. Morgiou, Sugiton, En-Vau… Chaque crique semblait nous saluer d’un dernier clin d’œil, offrant ses falaises dorées et ses eaux turquoise dans une lumière dorée. À bord, le calme régnait. Pas besoin de parler. Le clapotis doux contre la coque, le cri lointain d'une mouette et le murmure du vent suffisaient. Le plaisir de naviguer ainsi, à vitesse réduite, presque suspendus dans le temps, avait quelque chose de magique. On savourait chaque instant, chaque reflet du ciel sur l’eau, chaque parfum de pin et de sel. Le moteur ronronnait parfois, discret, pour pallier l'absence de vent, mais rien ne troublait la sérénité de cette fin de voyage. Et pourtant, une pointe de nostalgie se glissait peu à peu dans nos pensées. Ce n’était pas seulement la fin d’une navigation, mais celle d’un chapitre. Bientôt, le port, la terre ferme, les obligations. Mais avant cela, encore quelques milles de bonheur simple. Encore un regard vers les falaises, un dernier plongeon peut-être, un dernier coucher de soleil sur l’horizon. On savait qu’on reviendrait. Mais comme chaque fin de croisière, celle-ci laissait un goût doux-amer, mélange de gratitude et de mélancolie. Naviguer, c’est aussi apprendre à dire au revoir.
Une journée inoubliable à Anthéor Ce matin-là, le soleil brillait déjà haut dans le ciel, annonçant une journée parfaite pour l’aventure. Direction Anthéor, ce petit coin de paradis niché entre mer et rochers rouges, au cœur de l’Estérel. L’eau turquoise scintillait sous les premiers rayons, et l’air sentait bon le sel et les pins. Équipés de nos pagaies, de crème solaire (beaucoup !) et de bonne humeur, nous avons embarqué sur nos canoës et paddles. Dès les premiers coups de rame, les éclats de rire ont commencé. Entre ceux qui pagayaient en rond, ceux qui tombaient (gracieusement ou non) du paddle, et ceux qui jouaient les capitaines en herbe, l’ambiance était détendue et joyeuse. Nous avons longé les falaises rouges, découvert des petites criques secrètes, et même fait une pause baignade dans une eau limpide. Certains ont tenté quelques figures sur le paddle, avec plus ou moins de succès… et surtout beaucoup de fous rires ! Le calme de la mer, mêlé aux cris de joie, donnait une sensation de liberté totale.
Hier soir, nous sommes partis en annexe pour aller admirer le feu d'artifice de Cannes depuis la mer. L’ambiance était magique : les lumières colorées se reflétaient sur l’eau calme, et le spectacle prenait une toute autre dimension vue depuis le large. Après ce moment féerique, nous avons repris la navigation à bord de notre catamaran. Et là, surprise incroyable : au lever du jour, nous avons aperçu notre toute première baleine ! Elle est apparue à quelques dizaines de mètres du bateau, majestueuse et paisible. Un instant suspendu, gravé à jamais dans nos mémoires.
Au large de Cannes, niché au cœur de la Méditerranée, l’archipel des îles de Lérins offre une échappée paisible et dépaysante. Naviguer en catamaran vers ces joyaux insulaires, c’est vivre une expérience unique, alliant le plaisir de la voile, la découverte de paysages préservés, et l'exploration d’un patrimoine naturel et culturel exceptionnel. Cap sur l’île Sainte-Marguerite Après avoir quitté le port de Cannes à bord d’un catamaran spacieux et confortable, la navigation débute en douceur, portée par la brise marine. En quelques minutes, les contours boisés de l’île Sainte-Marguerite se dessinent à l’horizon. Cette île, la plus grande de l’archipel, est célèbre pour son fort royal, qui abrita autrefois le mystérieux Homme au Masque de Fer. Une fois à quai, la visite se poursuit à pied à travers les sentiers ombragés de pins et d’eucalyptus. Le fort royal, aujourd’hui musée, plonge les visiteurs dans l’histoire captivante du lieu. C’est aussi l’occasion d’admirer de magnifiques panoramas sur la baie de Cannes et les eaux turquoise qui bordent l’île. Escale paisible sur l’île Sainte-Honorat Après une baignade dans les criques sauvages ou un moment de farniente sur le pont du catamaran, l’équipage met le cap vers la plus intime des deux îles : Sainte-Honorat. L’atmosphère y est bien différente. Habitée depuis plus de seize siècles par une communauté de moines cisterciens, l’île est un havre de paix hors du temps.
Escapade en annexe : de Port Grimaud à Saint-Tropez, entre canaux et légende Au lever du soleil, alors que le mouillage est encore calme, l’annexe est mise à l’eau. Le clapotis léger contre la coque, l’air frais du matin, et l’excitation d’une nouvelle journée d’exploration en mer : direction Port Grimaud, la “Venise provençale”, puis Saint-Tropez, la perle du golfe. Port Grimaud : charme sur l’eau L’approche de Port Grimaud par la mer est un spectacle en soi. Nichée au fond du golfe de Saint-Tropez, cette cité lacustre imaginée par l’architecte François Spoerry dévoile un labyrinthe de canaux bordés de maisons colorées aux façades fleuries. En annexe, on se faufile lentement entre les ponts bas et les quais pittoresques, saluant les plaisanciers sur leurs terrasses ensoleillées. Ici, tout est pensé pour la vie sur l’eau : chaque maison a son anneau, chaque ruelle son charme. On amarre l’annexe à un ponton prévu pour les visiteurs, et l’on part à pied flâner dans les ruelles pavées. Le marché provençal, les galeries d’art, les petites places ombragées et les terrasses en bord de canal invitent à la détente. Une pause café ou une glace, et il est temps de reprendre la mer. Cap sur Saint-Tropez Quelques milles plus loin, en longeant doucement la côte, Saint-Tropez se dévoile dans toute sa splendeur. L’annexe approche le port mythique, joyau de la jet-set et repaire de marins. On débarque discrètement, le contraste entre l’ambiance feutrée de l’annexe et l’effervescence du quai est saisissant. Dans les ruelles de la vieille ville, on croise autant de visiteurs curieux que d’habitués élégants. Les façades ocres, les boutiques raffinées, les galeries, les senteurs de Provence… Tout ici rappelle que Saint-Tropez est bien plus qu’un mythe : c’est un village vivant, vibrant, ancré dans son histoire. Une visite à la citadelle offre une vue spectaculaire sur le golfe, tandis qu’un détour par le marché de la Place des Lices (les jours de marché) permet de goûter à l’authenticité locale. Puis, retour au port pour reprendre l’annexe, avec le sentiment d’avoir touché du doigt deux univers : le calme d’une cité lacustre pleine de charme, et l’énergie d’un village devenu légende.
C’est au lever du jour, dans l’écrin préservé du Cap Taillat, que débute une navigation inoubliable le long de l’un des plus beaux littoraux de la Côte d’Azur. À bord d’un catamaran élégant, confortablement installé sur le pont, on quitte lentement cette presqu’île sauvage, classée espace naturel protégé, avec ses criques aux eaux turquoise, ses pins parasols et ses plages secrètes. Le vent léger gonfle les voiles, et le catamaran glisse en silence sur une mer d’huile. La côte défile : Cap Lardier, Cap Camarat, les collines verdoyantes du Massif des Maures, les plages dorées de Pampelonne… Le rythme est paisible, propice à la contemplation. Quelques dauphins curieux accompagnent parfois les navigateurs, ajoutant une touche magique à cette traversée. En approchant de Ramatuelle, la mer prend des reflets changeants, oscillant entre le bleu profond et l’émeraude. L’ancre peut être jetée le temps d’un plongeon, d’une séance de snorkeling ou d’un déjeuner à bord, bercé par le clapotis des vagues. Pour les plus actifs, paddle ou kayak permettent d’explorer les petites criques invisibles depuis la terre. Puis, à l’horizon, se dessinent peu à peu les silhouettes familières de Saint-Tropez : son clocher ocre, ses voiliers prestigieux, et l’animation unique de son port. En entrant dans la baie, l’ambiance change, passant du calme sauvage à l’effervescence légendaire du village. Le catamaran accoste, offrant une arrivée spectaculaire au cœur du mythe tropézien. Flânerie dans les ruelles pavées, visite du vieux port, pause gourmande sur une terrasse ensoleillée, ou balade jusqu’à la citadelle… Saint-Tropez dévoile ses multiples facettes, entre authenticité provençale et art de vivre raffiné.
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